Mon âme d'écrivain (Gorgon)

Voila, je me suis mit à écrire un livre, voici le chapitre 1, il est triste et est pourris, mais je vourais votre avis, ne soyer pas méchant et je vous donnerais le 2 qui est déjà écrit, mais pas mit sur l'ordi (trop la flem^^)

le titre est

GORGON

Chapitre I : La naissance

Dans la cité commerçante de Dracbar, un homme et une femme, tout les deux pauvres et âgées de trente-cinq ans, venaient de crée un petit enfant.
Hélas, la mère de ce petit être mourras à l’accouchement. Avant de partir, son mari entendit ses dernières paroles :
« Tu l’appelleras Gorgon, et prend soin de lui, il seras celui qui ... (silence) »
Avant la fin de ses dernières paroles, le père de Gorgon aperçut en elle la fermeture de ses yeux, puis la lassitude dans ça voix, et enfin le silence avant qu’elle ne puis terminer ça phrase. Il se mit à pleurer par les larmes de la tristesse qui venaient de l’assommer. Et il garda une certaine haine envers son dernier fils qui venait de tuer sa femme. Deux jours après, à l’enterrement de sa bien aimée, il se dirigeait vers un homme qui semblait l’appeler. Cet homme portait un chapeau à la mode religieuse, et une veste en velours de renard. A leur approche, une discussion s’engagea, ils semblaient bien se connaître. Ils se saluèrent :
« -Que veut-tu ?
-Ton dernier fils, il a tué ta femme, je le recueil, est–tu d’accord ?
-Non, elle m’a demandé d’en prendre soin, et je le ferais.
-Tu sais ou me trouver si tu changes d’avis, sache qu’il sera bien traité avec moi. »
Ainsi se termina cette petite discussion, qui perturba le père de Gorgon durant les jours qui suivirent. Alors il décida après bien avoir réfléchit intérieurement :
« Les temps sont dure, il ma trop fait de mal, je ne sais comment le nourrir, il me poseras que des problèmes, en plus, j’en ai deux autres. Elle ma dit d’en prendre soin, je vais donc le donner; il sera ainsi nourrit et aura une éducation correcte. »
Quand il eux fini de penser ceci, à la seconde prêt, le silence se fit, aucun bruit ne retenti ni par les oiseau, ni par les mouches, rien de rien, sauf le silence total.
Une dizaine de secondes après, Gorgon se mit à pleurer, tellement fortement que les deux autres enfants se réveillèrent, rien ne l’arrêtait, ni la chansonnette, ni le lait, on aurait dit qu’il avait entendu ou comprit les pensées intérieur de son père, comme s’il eux un don. Enfin, à l’apogé de son hurlement, le tonère retenti. Croyant de plus en plus que c’était un être démoniaque, il s’empresa de prévenir celui qui le voulait :
« -Tu as raison, je ne peux le garder, je te le donne contre aucune rente, seulement, nourrit le bien, et éduque le comme un enfant devrais avoir.
-Tes volontés seront respectées.
-Affaire conclu ?
-Affaire conclu. »
Ainsi ils se séparèrent, le père de cette « marchandise » parti avec le sentiment de liberté, de soulagement, de ne plus avoir se « démon » avec lui.
L’autre homme, celui qui porte le chapeau à la mode religieuse s’appelait Aroduil, il était prêtre d’un orphelinat pour enfant en bas âge. Il ajoutait Gorgon à tout ses petit être sans défenses, mais en lui donnant des soins particuliers.

prometeur.


malgré quelque lourdeur je trouve sa pas mal.

merci, je ne vais pas tarder a mettre le chapitre 2, dès que j'ai le temps de le taper sur le pc, bon, il va faloir que j'écrive le 3 maintenant^^

Alors etant donné que mon oncle est journaliste et aussi romancier a ses heures, je peus te filer quelques conseils.

En fait, ton texte est trop espacé.
Je m'explique, dans ton recit ya des gros trous sans explications et sa laisse un peu le lecteur dans le vide. Sinon ya aussi el probleme de langue, car tes phrases sont trop peu structurées et tu melange trop facilement plusieurs elements dans une meme phrase.

Ensuite, quand tu ecrit un roman, tu ne doit pas mettre de "..." autour de tes mots parce que normalement, c'est la pensé du personne que toi meme tu as créé que tu dois decrire donc tu es sur du mot a utiliser ne théorie...

Ca manque aussi de descriptions detaillé des personnages sur leur habilles ou leur caractere, parce que le lecteur doit s'imaginer le personnage avec tous un tas de details.

Sinon ton idée n'est pas trop mal mais de toutes facon il ne faut pas te decourager. Certains ecrivains ont fait des tas de livres avant de reussir a en ecrire un qui leur plait. Et puis en plus, tu n'a que 15ans et donc ton voccabulaire reste plutot limité mais tu as tout de meme de l'imagination et ca c'est important pour ecrire. Donc continue et entraine toi a ecrire et tu devrais reussir a faire un livre qui te plait vraiment, ce qui risque donc de plaire au lecteur.

je n'ai que 11 de moyenne en Français, j'écrit pour mon plaisir, surtout pour exprimer une histoir que j'ai inventer, car les idées ne me manque pas^^
et je ne compte pas le mettre au commerce, juste m'amuser et de savoir de quoi je suis capable

PS: je n'aime pas lire les description, donc se n'est ps pour en faire^^

Ouai ok ben comme tu le sent de toute facon c'est ton projet donc tu l'ecris comme tu l'entend. Mais l'histoire m'a l'aire plutot pas mal donc j'atend la suite :p

je metterais le chapitre 2 demain, ensuite, je ne posterais plus, sinon, on me piqueras mon histoir
sinon, quand j'aurais finbi comme je fit, j'aurais 18/20ans, et je serais meilleur, j'aurais mon bac (je l'espère) et je reformuleras avec toutes les descriptions, la, en faite, c'est le plan lol

crée toi un site et copyright le !

copyright??
c'est c'est quoi??
je vais vous donner la suite

Chapitre II : Un grand esprit

Gorgon vit jusqu’à ses sept ans comme un enfant sans encombre. Puis un jours, lors d’un début de journée comme les autres, Gorgon demanda au curer :
« Aroduil, Qui sont mes parents? »
L’homme de dieu se doutait qu’un jour, il aurait cette question, donc il s’était préparé :
« -Ton père et ta mère était des petits commerçants, même pauvres, ils sont morts, et je t’ai reprit sous mon ail.
-Pourquoi tu prends plus soin de moi que les autres enfants ici, tu t’occupes de moi comme si j’étais ton fils.
-Je connaissais tes parents personnellement, et j’ai donné ma parole que je m’occuperais de toi.
-D’accord, et tu peux me parler d’eux ?
-Ton père était barbu, avait quarante-cinq ans à son décès, et il n’a pas supporté la mort de ta mère lors de ta naissance. Il a donc mit fin à ses jours, en te confiant juste avant à moi. »
A ce moment, la dame de l’orphelinat qui assurait les cours appelait ses élèves, dont Gorgon.
Aroduil s’état bien débrouiller, mais il n’aimait pas mentir surtout que le père de Gorgon était bien vivant. Mais s’il ne le fait pas, chaque enfant à qui il ne mentirait pas partiraient rechercher leurs parents. Donc il préférait leurs mentir jusqu’à leurs majorité, donc à vingt et un ans, ou il leurs révélerais la vérité.
Trois heures après, Gorgon réapparut dans les jupons d’Aroduil en lui demandant pourquoi il lui avait menti. A ce moment, quelques nuages se formèrent et rendirent la luminosité faible. C’est comme s’il eux des pouvoirs, mais nul ne savait répondre à cela.
Donc Aroduil, surprit de cette événements et du savoir de l’enfant, souri et répond :
« -Comment tu sais ?
-J’ai des visions de mon père qui me donne à toi, avec l’ordre que tu devras t’occuper de moi, et de se qu’il me dit avant de te rejoindre.
-Des visions ! Se ne peux être que des souvenirs, vu ton jeune âge à l’époque… (Silence) des visons ! des visions ... »
Il répéta ce mots une vingtaine de fois, puis il s’exprima à Gorgon :
« -On se revoit se soir !
-A ce soir. »
Puis Aroduil parti en répétant visions, ce mot semblait le tracasser.
Toute la journée, Aroduil allait prier, pour espérer que dieu l’aiderait à prendre une décision.
Dorénavant, il considéras Gorgon pour peut être un enfant maudit, mais ne pouvait s’en débarrasser, il avait donner sa parole d’en prendre soin.
Alors il s’en occupait maintenant plus par le plaisir de s’occuper d’un enfant qu’on considère à nous, mais par obligation.
Néanmoins, il devait passer l’étape du soir, comment allait-il faire pour ce repas.
Il prit son courage à deux mains, entrant comme si de rein n’était, et s’installait.
Mais il n’arrivait pas à manger depuis le début de la journée, il n’avait rien mangé, et la faim lui grognait le ventre.
Vers le milieu du repas, Gorgon d’approcha, et Aroduil fit semblant de ne pas entendre le premier appelle, puis Gorgon réessaya, mais plus fort. Mais le prêtre continuait à ne pas entendre volontairement, puis Gorgon demanda aux voisins d’Aroduil de lui faire remarquer de sa présence. Ainsi, le faux sourd et étourdie ne put éviter la pénitence de parler à cette enfant :
« -Tu as réfléchi sur le fait que j’ai des visions ? s’exclama Gorgon.
-Toute la journée hélas, mais je n’ai pas trouver d’explication logique, semblait gêné le prêtre, donc je vais me renseigner, ça prendras du temps bien sur.
-Merci. »
Aroduil eux le cœur léger après ceci, et commença à manger, et ne se priva pas, deux part de fromage, redemanda les restes de l’entré et du plat de consistance et termina par le dessert. Tous ses voisins furent étonnés de son repas.
Aroduil vit avec cette action sur le cœur durant quelques années, ou il prenait soin de toujours éviter la question de cet enfant par différentes manières.

bin comme ca personne peut te voler tes textes